Le logiciel Sage Paie 100 s’adapte dans sa dernière mouture aux dernières évolutions fiscales et législatives, du prélèvement à la source au RGPD, et ce ne sont pas les seules particularités de cette ultime version de Sage Paie 100 !
Petit passage en revue des nouveautés proposées par le logiciel de paie incontournable des entreprises.
La prise en compte du PAS (Prélèvement à la Source)
Le 1er janvier 2019, les autorités fiscales mettent en place officiellement le Prélèvement à la Source (PAS). La France faisait partie des derniers pays dans le monde à ne pas encore appliquer un tel dispositif.
L’employeur devient un collecteur des impôts auprès de l’état et le logiciel de paie devient donc un élément central dans cette application du PAS.
Ce prélèvement a bien évidemment été testé pendant l’année 2018 afin de s’assurer que l’ensemble des connexions pour la DSN (Déclaration Sociale Nominative) se déroule sans erreur. Par ailleurs, Sage a signé la charte des éditeurs, afin d’assurer sa conformité avec le DSN.
Tout un ensemble de fonctionnalités est donc présent sur Sage Paie 100 afin d’optimiser le PAS :
- l’accès à l’intégration des taux individuels ainsi qu’à la détermination des taux d’imposition
- prélèvement de l’impôt sur le bulletin
- déclaration automatisée
- ntuiDSN : édition de contrôle du PAS
De plus, cette version de Sage Paie intègre un traitement de rectification et de régularisation en cas d’erreur sur une période antérieure.
Les avantages sont ainsi de pouvoir effectuer un traitement simplifié des obligations légales liées au PAS, ce qui confère un gain de productivité et automatisant certaines tâches.
Concrètement, lors de la déclaration du PAS, les données calculées sont transférées dans la Déclaration Sociale Nominative.
Pour les salariés qui sont sortis des effectifs, le calcul du bulletin complémentaire de rappel de salaire se fait avec les taux du mois de sortie.
Les taux de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP) sont importés et un rapport est édité reprenant les informations des salariés importés et la liste de ceux qui sont référencés en anomalie par le DGFIP.
Le bulletin de paie prend donc automatiquement en compte le taux nominatif face au taux barème, ainsi que la gestion des Indemnités Journalières de Sécurité Sociale (IJSS), des personnes en apprentissage, des stagiaires et des contrats courts.
Toutes les données liées au PAS sont indiqués sous la forme d’un historique dans la fiche du salarié, ce qui permet une parfaite traçabilité de l’import des taux. En somme, Sage Paie 100 fluidifie et automatise tous ces éléments.
L’intégration du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données)
Le logiciel Sage Paie offre des fonctions facilitant le travail de l’entreprise face à la loi.
Dans cette nouvelle version, on retrouve des évolutions du logiciel faites en fonction du nouveau règlement sur la protection des données des personnes physiques (RGPD). Cette sécurisation s’est faite tout d’abord en renforçant les processus d’échange des données et leur stockage. Le mode de création des mots de passe a également été changé en exigeant qu’il soit plus long, avec des caractères plus diversifiés (chiffres, lettres majuscules et minuscule, symboles). Afin de s’assurer que les mots de passe sont correctement sécurisés, l’administrateur à la possibilité de paramétrer, pour tous les utilisateurs, une stratégie de mots de passe forts. Toujours afin de respecter la réglementation, la suppression des données des salariés a été facilitée afin de s’assurer de l’effacement des informations les concernant.
Dernier point, afin que la gestion de ces données personnelles soit optimisée : un centre d’aide et de documentation en ligne permet d’avoir une meilleure visibilité des informations collectés auprès des personnes.